lundi 2 mai 2016

RENCONTRE MAGNARD JEUNESSE

Mercredi 11 mai

Je participerai à cette jolie rencontre 

à la médiathèque Françoise Sagan (Paris 10)


Je me réjouis de retrouver Camille, alias Mim, auteur des délicieuses et hilarantes séries première lecture "Noé et Azote", et "L'orthophoniste" !

 


Heureuse de rencontrer Thomas Baas, parce que j'adore ses illustrations de "Mordicus, Apprenti sorcier", la nouvelle vedette des CE1-CE2 ! (Mention spéciale au cocasse portrait de la maîtresse !)

Je suis en train de lire "Sur la route d'Indiana Police" de Sébastien Gendron qui sera là aussi, c'est un régal ! Une plongée dans l'Amérique de mon enfance, je le dévore en écoutant Queen...
Une histoire complètement dingue avec avion mitrailleur, hold-up, road trip et hélicoptère ! Digne d'un polar des années 70, on imagine les couleurs façon polaroid ! ... Et les personnages ! Superbes, bien brossés, comme on aime... Gladys Monroe, par exemple, vous avez le nom, vous l'imaginez ! 
Il est cinématographique, ce livre ! 
Ah là, là, quel talent, cet auteur ! Ce roman est à mettre entre toutes les mains d'enfants de quadra américanophiles pour que leurs parents puissent le lire !


Très vite ou jamaisEt puisque la maison d'éditions ouvre une nouvelle collection 100% ado, nous découvrirons ce jour-là les deux premiers romans de la collection M et leurs traductrice et auteur ! Quelle forme, chez Magnard !


Si vous souhaitez participer à cette chouette matinée, vous pouvez contacter Florence Ayraud 
(voir contact sur l'invitation)

✪ Bonus pour ceux qui auront envie de prolonger, ce même jour 
Pour la sortie du roman 
   Sur la route d'Indianapolis    
de Sébastien Gendron, la librairie L'Humeur Vagabonde organise une petite soirée de lancement le mercredi 11 mai à 19 h.
L'Humeur vagabonde
44 rue du Poteau
75018 Paris
(Métro Jules Joffrinou ou Pte de Clignancourt)

 Extrait  
– Regardez !
Steve montrait la rue devant laquelle il s’était arrêté. À une cinquantaine de mètres, il y avait le pick-up, garé entre deux véhicules, son frigo toujours attaché debout sur la plateforme arrière. Je me suis tourné vers Diana. J’espérais qu’elle allait dire un truc du genre : « Ok, maintenant qu’on sait où il est, on conduit Lilian à la gare et on revient. »
Mais rien de tel ne s’est produit. Bien au contraire.
Steve a fait pivoter son volant et on est entrés dans la ruelle. À bonne allure, il est allé se stationner à quelques mètres en amont du pick-up et a coupé le contact. Diana a fini par baisser son arme et tous leurs yeux se sont tournés vers cette maudite camionnette qu’ils avaient enfin retrouvée.
Will a alors voulu bondir sur le pistolet de Diana, mais le hurlement d’une sirène a éclaté derrière nous.
Tout s’est passé comme au ralenti. On s’est retournés vers la vitre arrière dans un même mouvement pour découvrir une demi-douzaine de véhicules de police qui bloquaient maintenant la rue dans laquelle Steve venait d’entrer. On aurait dit qu’ils nous attendaient. C’était un piège.